LA FEMME D’UN SOLDAT LE TROMPE AVEC 60 HOMMES, ALORS IL PRÉPARE UNE VENGEANCE INIMAGINABLE!

 LA FEMME D’UN SOLDAT LE TROMPE AVEC 60 HOMMES, ALORS IL PRÉPARE UNE VENGEANCE INIMAGINABLE!

On dit qu’il faut parfois prendre la loi dans ses mains pour obtenir justice, et bien l’histoire de ce soldat américain qui a découvert que sa femme l’avait trompé avec 60 autres hommes alors qu’il servait son pays à l’étranger montre que la vengeance est douce au cœur du guerrier !

Le collaborateur au site Reddit nommé Frizzmaster affirme que son mariage avait brillamment commencé, mais qu’il avait remarqué que sa femme avait un comportement suspect qui lui laissait penser qu’elle le trompait. Malheureusement, il avait dû quitter pour l’étranger avant d’en avoir le cœur net. Et à son retour, ce qu’il a découvert est tout simplement renversant ! Voici donc l’histoire qu’il a racontée, notamment à la cour pour tenter d’obtenir un divorce.

« Cette histoire commence comme beaucoup d’autres dans l’armée américaine. Un soldat s’éprend d’une femme qu’il finit par marier. Au début, elle était tout ce que je pouvais demander d’une femme, charmante, attentionnée et affectueuse. Nous l’appellerons Thundercunt, ou TC pour faire plus court, pour des raisons que vous comprendrez bientôt.

Je l’ai rencontrée grâce à un autre soldat, Battle Buddy ou BB, qui n’a rien fait de répréhensible dans cette histoire. Il avait demandé aux autres soldats si l’un d’eux était disponible ce weekend pour une sortie avec une de ses amies. J’ai accepté (QUELLE ERREUR !!!) et tout s’est admirablement bien passé, au point que nous avons commencé à nous fréquenter et sortir ensemble.

Les mois passent et je n’ai pas encore commencé à penser au mariage. Mais elle se met à avoir ennuis médicaux, somme toute légers, mais qui demande mon attention. Comme mon commandement ne me permet pas de rester à ses côtés sans être marier, nous décidons deux semaines plus tard de nous marier à la cour civile. En plus, elle pourra ainsi bénéficier de mes avantages sociaux et couvrir ainsi tous ses frais médicaux. Tout était parfait, nous étions heureux et la vie s’offrait à nous. Mais ce n’était que le début…

Elle s’est mise à avoir différents besoins, à devoir sortir pour de multiples raisons et parfois loin de la ville. La voiture que je lui avais achetée était aperçue à différents endroits, souvent dans des parcs de roulottes mobiles. Et juste comme je devenais vraiment suspicieux, l’Armée m’a annoncé que j’étais déployé en Corée. J’ai donc mis mon enquête de côté, embrassé ma femme et j’ai quitté pour le boulot. J’y ai passé une année complète, avant d’être redéployé au Texas. Et c’est là que j’ai tout découvert grâce à sa mère et son frère.

Cette femme couchait avec 60 hommes différents et la plupart étaient des soldats. Son excuse à sa famille ? Elle disait que j’étais gai et que je lui permettais de coucher avec les hommes que JE choisissais en sachant qu’ils étaient propres !!! Elle m’utilisait donc pour tout et ne me voyait que comme un pourvoyeur. Et le pire dans tout ça ? Juste avant mon retour, elle a avoué m’avoir trompé… une seule fois ! L’ennui, c’est qu’elle était enceinte et ne pouvait plus le cacher… enceinte d’un homme noir ! L’enfant ne pouvait donc pas être de moi.

Je suis donc rentré à la maison et j’ai vidé ma demeure pour qu’elle ne vende pas ce qui m’appartenait. J’ai ensuite entamé des procédures de divorce. Ce fut la vengeance #1 !

J’ai ensuite vu son nouveau copain conduire MA voiture ! Avec l’aide de son oncle et de sa tante qui m’aimaient bien, je me suis organisé pour récupérer mon véhicule. Je me présenté à l’homme en question et lui ai dit qu’il conduisait MA voiture et que je venais la récupérer. Je lui ai laissé tout ce que contenait le véhicule qui ne m’appartenait pas et je suis parti. J’ai par la suite appris qu’il habitait chez moi, mangeait ma nourriture, dormait dans mon lit et portait même mes vêtements !!!

Les mois ont passé et notre date en cour est finalement arrivée. Sous les conseils de mon avocat, j’ai demandé l’usage exclusif de la voiture et de la maison que j’avais achetées. Elle a fait la même demande au juge. Mais comme elle a refusé de passer un test de paternité, le juge, ne pouvant pas savoir si j’étais ou non le père de l’enfant, a rejeté nos deux demandes et nous avons dû obtenir une autre rencontre, privée cette fois, avec le même juge.

Trois mois ont passé avant notre audience devant le juge. Mon avocat avait un éclat brillant dans les yeux et j’allais bientôt découvrir pourquoi. Dès le début de l’audience, il lui a lancé une série de questions : Mon client est-il le père de l’enfant ? Quand l’enfant a-t-il été conçu ? Où se trouvait mon client à ce moment ? Connaissez-vous le père de l’enfant ? Vous a-t-il offert une pension pour l’enfant ? … En bout de ligne, il l’a complètement acculée au pied du mur et elle n’a eu d’autre choix que de dire la vérité.

Ce fut ensuite son tour de s’adresser à la cour. Elle s’est lancé dans une violente attaque remplie de mensonges à mon endroit. Elle a affirmé que j’étais gai, que je fréquentais sa cousine de 18 ans, une série de mensonges grossières. Je suis resté de glace, imperturbables, la laissant se démener ainsi sans réagir. Mon entraînement militaire m’a beaucoup aidé ici et j’ai attendu patiemment mon tour. J’ai ensuite répondu à toutes les questions du juge, sans jamais insulter ma femme, restant poli et faisant valoir mes arguments. Le tout s’est passé très vite et le juge était prêt à rendre son verdict, les mots les plus doux que j’ai entendus de toute ma vie !

« Devant les éléments de preuve que j’ai ici, je ne peux prendre qu’une seule décision. M. Frizzmaster, j’approuve votre demande et vous adjuge l’usage exclusif de la maison et du véhicule devant la démonstration évidente d’adultère de la part de Madame. Mme Frizzmaster, la seule motion que je vais vous accorder est celle votre demande pour qu’aucun contact ne soit permis entre vous et Monsieur. Et bien franchement, je le fais davantage pour M. Frizzmaster que pour vous.»

TC était anéantie et ne savait pas du tout quoi faire ou dire. Où allait-elle habiter ? Comment allait-elle vivre ? Le juge lui a offert 30 jours pour trouver une solution, après quoi il lui serait interdit de remettre les pieds dans la maison, faute de quoi c’est la prison qui l’attendait.

La victoire était totale, et la vengeance si douce ! »